Les Articles : Ce qu’Elles & Ils font
Antoine Vignac & l’Artnoa : Un homme, un Vin, une Histoire.
Arnoa signifie "vin" en basque. On pourrait juste raconter que si Antoine a ajouté un T c'est parce qu'il avait déjà imaginé exposer les copains...
Camille Enrico : le bijou sur mesure haute couture
Camille Enrico c’est un bijou sur mesure empli de culture … un bijou que l’on porte, après l’avoir choisi et que l’on peut faire évoluer au fil des couleurs de la vie. Un bijou comme une amulette, un porte bonheur, une ancre, une tafust, une main de fatma qui mettent en valeur le travail des petites mains, des artisans, des créatifs et des créateurs. Un bijou qui parle au coeur.
Maria & mathieu : Bloom, Le miel de la vie.
» Nous passons notre temps sur les marchés de producteurs, nous parlons avec les producteurs, avec les gens. C’est un travail à plein temps mais qui est important pour nous. Lorsque l’on observe la crise sanitaire actuelle on ne peut que se dire qu’il est grand temps de faire quelque chose, d’agir. On ne peut plus regarder et continuer de consommer comme on le fait en fermant les yeux parce que c’est plus facile ou confortable de faire ainsi. Avec Bloom, nous cherchons à apporter une solution aux gens, lorsqu’ils viennent chez nous, ils savent que chaque produit s’inscrit dans une démarche qualité, locale, 0 déchet, qu’ils participent en étant un petit maillon de la chaine et cela leur fait plaisir d’apprendre que grâce à eux, Elise, qui produit nos délicieuses tisanes, va pouvoir semer deux fois plus cette année. Nous permettons, tous ensemble, aux producteurs de mieux vivre, ça compte. Bien-sûr nous voulons faire plus et c’est ce vers quoi nous nous dirigeons, nous voulons raconter l’histoire des producteurs et, pour cela, nous voulons faire plus qu’acheter, nous voulons être avec eux, travailler avec eux, participer : récolter, goûter, voir … aller chercher les opercules du miel avec Marianne, rencontrer les abeilles ! »
Jenny, Sun Rise Digital, les Rayons positifs
Ce que Jenny fait aujourd’hui, maintenant qu’elle est guérie c’est de partager son histoire. TOUTE l’histoire. L’annonce, son vocabulaire, l’agenda, les cheveux que l’on perd et aussi … la force que l’on gagne à accompagner son corps, à ne pas lutter contre lui mais à lui parler, à ne pas le prendre de front mais à affronter, avec lui, la vérité en face, celle de la maladie mais aussi celle du mal qui dit. Jenny raconte sa plongée dans le cancer mais aussi dans celle qu’elle a faite dans son fort intérieur. De la palpation à l’introspection à la rémission.
Nina Bonomo & Maison Levy : La Fibre artistique
» Le showroom de Maison Levy, c’est notre maison, la maison de famille, la maison des amis. La maison c’est plus qu’un lieu avec des murs et des objets c’est un endroit où se rencontrent les gens et les idées. Un endroit où on invite ceux que l’on aime autour d’un verre ou d’un café, pour partager, s’émouvoir et échanger. Notre maison est ici, la porte vous est ouverte. »
Bienvenue chez Maison Levy !
Giulia & Les français sont gâtés
"Ce que je voulais c'est mettre en valeur les petites mains qui façonnent les objets qui font notre quotidien."Les français sont gâtés … une...
Matthieu & Pauline : Formule(s) à partager
Mettre le beau à la bouche
Julia Maufay & APRIL PLEASE : Le Bijou Multi-Formes
Porter des bijoux April Please revient à rappeler qu’il faut se méfier des discrètes apparences car d’un coup de talent elles deviennent tour à tour glamours, pêchues, pleines de caractère et d’élégance. Comme Emilie & Julia quoi !
Sylvie Marchal : Le coaching ou le libre mouvement en avant
Sylvie a beau dire qu'elle a, au fil de sa carrière pris des virages à 180 degrés, il ne faut pas sortir de la cuisse de Jupiter pour repérer le...
Laura Isaaz & Maag ou la féminité pas formaatée
Le mercredi j’aime lire maag et souvent je me dis … et voilà encore dans le mile toujours le mot juste ;
Le génie …
Ses mots tombent comme des notes sur une partition jouée au piano ; tantot jazzy tantot blues, Laura revisite les lettres classiques avec swing sans jamais tomber dans le spleen.
Les idées s’emmêlent dans un pêle-mêle qui suscite des réflexions à la pèle.
Laura Isaaz est un peu la Emma Bovary version lettre moderne, ou plutôt Colette en fait !
Basque brebis pas égarée pour deux sous, Laura a les opinions bien pelotées et pimentées sur la féminité mais pas que. D’ailleurs la féminité parlons en, avec elle elle est libre, individuelle et sans jugement, elle se nourrit des individualités et des chacunes.
Moi qui suis déjà tombée en amour devant le pays basque , papoter avec Laura a fini de me convaincre à l’idée de finir ma vie à manger de l’ossau iraty …
Nils Tavernier – Ils & Elles ont toutes une Histoire
« Je me sentais inutile. Ce sentiment d’inutilité m’a buté, je me sentais nul, vraiment nul.
Il fallait que je me mette « au service de ». Par là j’entends au service de quelque chose de plus grand que moi, que toi, que nous. Je n’avais pas de compétence particulière si ce n’est savoir faire de l’image et échanger et faire parler. Donc j’ai décidé de montrer ceux qui ont des compétences ou des idées géniales ou qui font des choses absolument extraordinaires. Je me suis dis que je ne pouvais pas faire plus avec ce que j’étais et c’est ainsi que je me suis épanoui. C’est en cherchant le positif en tout qu’on amène le positif partout ; l’optimisme ne peut se nourrir que de ça. C’est ça l’humanité en fait. »
Guy Birenbaum – (Ré)formation plagiste
Ce que fait Guy ? Des photos. Il immortalise des moments, des situations transformant un temps les parasols en personnes ou les personnes en...
Suliane Valadie & Etxe Goria : L’Art de recevoir
Accueillir sans se faire envahir ; ce doit être ça le secret lorsque l’on partage sa maison avec des plus-ou-moins inconnus. Une histoire de clefs passées de la main à la main dans le respect de la liberté de chacun. Une intimité entrouverte sans mise à nu… car si ouvrir sa porte et son univers à des gens de passage « souvent-très-sympas » requiert une bonne dose de générosité ; cela exige également de maîtriser l’art de faire passer un certain nombre de messages, codés ou pas, pour ne pas tomber dans l’abandon de soi.
Les codes très peu pour Suliane, ici pas de règles et précisément
« Tu prends tes clefs et tu fais ta vie ».
Tout un art – de recevoir – je vous dis.
Et, ici, l’art est partout et nous raconte des histoires.
Ici, tout n’est que goût. Pas de recette ou d’anticipation, le maître mot en matière de déco est improvisation.
« Je chine et ensuite chaque objet trouve sa place. Mais, avec le temps, cette place dans l’ordre des choses change et évolue. Un peu comme pour nous, rien n’est révolu ».
Rien ne se perd et tout se transforme en somme.
Raphaële ou la Formule Complète.
» J’avais une intention. Depuis longtemps tu vois. C’était une telle passion pour moi d’observer tout ce qui se passe en cuisine, d’écouter les discussions entre les chefs, avec les fournisseurs, de poser des questions, pour pouvoir raconter après. Enfin… pas seulement raconter mais dire, expliquer ; j’avais à cœur de mettre en valeur le talent mais aussi la sueur, le travail, l’effort … J’avais terriblement envie de parler de ce qui est important, des dessous de l’assiette, de passer de la table à la cuisine, aux champs et à la mer. «
Jean-Louis Lascoux & la Médiation ou l’Entente de Libre échange
Forme Libre, ta mission si tu l’acceptes est de résumer tout ce que Jean-Louis Lascoux a fait dans sa vie sans faire un article de la taille d’une Encyclopédie !
Pas simple de faire simple sans vulgariser le travail d’une vie lorsque l’on parle de ce qu’a fait et de ce que fait quelqu’un qui échange avec Diderot dans son bureau, qui aimerait philosopher autour d’un verre de pinard avec Jacquard et qui veut faire de la société un monde de philosophes après leur avoir brisé les chaines et les avoir encouragés à sortir de la caverne. Sans allégorie.
Mais s’il fallait ne dire qu’une phrase, je crois que Forme Libre dirait « Jean-Louis Lascoux est motivé par un idéal et depuis le départ il a décidé de faire sa part » . L’utilité est quelque chose de sacré chez Jean-Louis, il s’y consacre et pas pour la gloire ou le sacre de se dire qu’il a créé une profession utile à la société; Non Non pour promouvoir l’entente sociale.
Pas le contrat, l’ENTENTE… parce que nous sommes libres… dans l’Absolu, dans le salut et que nous pouvons nous affranchir des codes, des cages, des écrits, des signatures, du marbre aussi … à condition de nous responsabiliser, de prendre conscience et de nous reconnaître les uns les autres dans tout ce que nous sommes d’individualités.
Au sein de cet article je vous propose d’imaginer un monde où tout le monde s’entendrait avec tout le monde…
Attention, pas un monde dans lequel nous serions tous copains façon danse du Club Med mais un environnement dans lequel nous nous entendrions dans tous les sens du terme: un monde dans lequel la contrainte ne serait plus car nous communiquerions, écouterions, dialoguerions …
ET KE SAPELERIO MÉDIATION…
Formation Liberté !
« Ce qu’il est très important de dire c’est que un coussin est une journée de travail pour une brodeuse ».
Voilà; les bases sont posées: Un coussin, une journée, 24 heures, un tour du cadran qui démonte tous les préjugés sans chercher midi à 14 heures en prouvant qu’on peut faire les choses autrement et … avec le cœur.
Pour présenter CSAO, je pourrais ici vous parler de sa création en 1995, de son histoire, de l’engagement de Valérie Schlumberger, la maman de Ondine, de son amour pour le Sénégal, pour l’artisanat africain, de son sens de la dévotion et du don de soi… Mais tout cela ne serait que répétition et redite, je ne ferai pas mieux que ce qui est déjà raconté sur le site (www.CSAO.fr pour les curieux) et puis, pour tout vous dire, Forme Libre espère bien avoir l’occasion d’écrire sur Madame Valérie et sur sa vie dès lors qu’il sera de nouveau possible de « gagner » Gorée.
Nous parlerons donc du passé dans le futur et, présentement, je vais tenter de vous expliquer de fil en aiguille comment Ondine a réussi le pari de joindre le beau et le chic au responsable et éthique. Pour cela, je vous embarque à l’Atelier des Rêves, là où la liberté prend forme à coup de dé à coudre et d’huile de coude.