Femmes

Femmes

Femme sauvage
Femme objet
Femme enfant
Femme de tête
Femme de pouvoir
Fille facile
Femme libérée
Femme forte
Femme de poigne
Femme moderne
Femme au foyer
Femme indépendante
Fille à histoires
Femme à kekettes
Femme de couleur
Femme originale
Femme originelle
Femme mûre
Fille fragile
Femme docile
Femme romantique
Fille de joie

Mère, Sœur, Meuf, Nana, Miss, Zoulette, MILF, Cougar, Pouf, Tchoin, Michto,

Que d’étiquettes !
Que de boîtes dans lesquelles « On » cherche à nous mettre … Sauf que, sauf votre respect, vous m’excuserez du peu, mais il s’agit là d’une organisation, d’une définition bien simplette …

Sur la féminité, nous pourrions en effet dire bien des choses en sommes ; en déclinant le nom, le verbe et le concept… sans se tirer les vers du nez (pour ceux qui n’auraient pas la réf : Cyrano de Bergerac … Je peux ajouter « Femme de lettres » à la liste. Du coup. CQFD)

Crédits Photo : « Déchainée » par Natacha Mojaïsky

Blagues et réf de comptoir à part, si je me suis souvent demandée quel genre d’être humain je voulais être, JAMAIS je ne m’étais (trop) interrogée sur ma féminité. Je l’ai vécue assez spontanément, naturellement, sans me demander dans quelle case j’allais être rangée. Mais ça c’était avant … avant cet été.

Est-ce en raison d’une question posée par Cécilia au Café sur la sur-sexualisation des nanas ? De toutes ces discussions entretenues à la PP (La place Publique) avec Némo ? A cause ou grâce à cette phrase de Véro qui disait que « Vieillir revenait à devenir transparente » ? Du fait que j’ai vu, tout l’été, les corps se dénuder, de plus en plus tôt, sans retenue ? Je ne saurais le dire mais toujours est-il qu’à l’aube de mes 33 ans, j’ai mené mon enquête et il semblerait donc, qu’à l’âge du Christ, je me vois clouée sous la légende : « Bonne pote rigolote, rate de bibliothèque, sauvage à lunettes »

Sûre que je préfère 1000 fois qu’on dise de moi que je suis drôle et sympa plutôt que belle et sexuelle ; d’une part parce que c’est vrai et, d’autre part, parce que la séduction n’est pas mon dada. Rien à faire je ne suis pas à l’aise avec ça… Pourquoi ? Et bien parce que je suis de la génération biberonnée à la Marguerite Duras. Celles à qui on a dit de ne compter que sur elles et de ne jamais attendre ou faire la queue (J’assume totalement cette vanne en métaphore) ; Mais finalement l’un est-il forcément décorrélé de l’autre ?

N’aurions-nous pas le droit d’être tout à la fois :
forte et vulnérable ;
sensible et solide ;
peureuse et affectueuse ;
moitié lame, moitié soie ;
ingénue et ingénieure,
indépendante et aimante ?

Ne pourrions-nous pas être élégante sans être bourgeoise, aimer le cul sans être pute, apprécier le beau sans être une michto, publier story et réels sans être superficielles, faire des compromis sans se compromettre, la cuisine sans être rangée dans la case soumise ?

Je hais les cases, les boîtes – symbole d’une organisation en rayons de bibliothèque ; elles ne représentent rien d’autre que les projections de celles et ceux qui nous étiquettent … Ah oui parce que quand je disais « On » au début de cet article je ne parlais pas que de la gente masculine mais bel et bien aussi de mes consœurs adorées qui, souvent, mettent bien sous le tapis le concept de sororité en y allant de leurs petits jugements au quotidien sur truc, machine et machin !

Je ne jette la pierre à personne, c’est bien humain, mais je crois que les choses tourneront mieux le jour où chacun-e rangera son petit marteau de Juge d’intentions en n’instruisant plus à charge la longueur de la jupe, le nombre de pines et la cellulite apparente de la copine.

Je veux bien que l’on vit dans un monde d’observation ; via les réseaux, chacun peut se prendre pour Colombo mais il serait temps que les Jean Michel Larqué de la morale se détendent un peu : si on peut rire avec les gens, dès lors que l’on rit d’eux en y ajoutant du jugement et de la médisance on se transforme en un KGB un brin Hezbollah et, franchement, ça, on n’en veut pas … !

Évidemment qu’il m’arrive aussi d’avoir un mot ou une pensée de trop, de poser mon avis là où on ne me l’a pas demandé mais, en toute honnêteté, le soir dans mon lit je n’en suis pas fière et je supplie l’univers et mon karma de m’excuser ça ! Parce qu’en était tout à fait honnête avec ma petite personne imparfaite, il s’agit là souvent d’une forme de mesquinerie et de jalousie : j’en chie à la loge pour avoir la fesse galbée alors plutôt que de mettre mes baskets et courir 10 km (ou de poser ma fourchette), je dis que la nenette qui rentre dans un Levis taille 23 elle doit pas foutre grand chose de ses journées pour n’avoir que son cul à sculpter. Shame on me. Que ta parole soit impeccable on a dit !

Il serait temps d’être un peu sympas les unes avec les autres, de s’envoyer des fleurs plutôt que des tirs, de se réjouir plutôt que de se jalouser et de féliciter, avec des carnets roses, toute celles qui osent s’accomplir, se réaliser … et peut importe comment ceci est fait !

 

Pourvu que ce soit fait!

J’ai cette chance d’être entourée tout autour de femmes d’exception, de talent et d’amour ; de partager leur quotidien et, souvent, d’échanger avec elles dans une intimité fidèle ou nouvellement créée. Ces discussions tenues à l’abri de confidences où elles règnent en reines sont le lieu de partage de nos émotions, de nos doutes, de nos incertitudes et de nos peines mais aussi de nos projets, de nos passions et de nos actions. Elles sont TOUTES une source d’inspiration. Elles sont BELLES et m’aident chaque jour à être une meilleure être humaine.

Ce texte sur la féminité je l’ai écrit pour elles et pour leur dire ceci :

« J’aimerais que vous puissiez vous voir avec mes yeux, non pas parce qu’il vous manque quoi que ce soit mais parce que vous verriez tout ce que vous êtes déjà de douceur, de force, d’endurance, d’élégance, de potentiel (réalisé ou à explorer), d’engagement et de volonté. À quel point vous êtes complètes dans votre féminité : celle que vous avez inventée, qui vous ressemble et vous permet d’être vous, pleinement en refusant d’être autre chose. »

Libres assurément.

Crédits Photo : Natacha Mojaïsky

Évidemment, je ne peux clôturer ce billet sans un mot pour la gente masculine : 

Crédits Photo : Némo Rhunensky

Mes Chers Confrères,
Merci de nous regarder toute entière, de ne pas vous effrayer de nos complexités et de nos paradoxes. Merci de ne pas avoir peur de nos cœurs durs et fragiles à la fois. Merci de les respecter et d’en faire de même avec tous nos autres membres et organes. Merci d’être des guerriers au regard tendre et aux épaules solides à nos côtés. Par pitié, n’ayez pas peur de notre liberté, vous en êtes à la hauteur. Tous (ou presque). Sachez qu’elle ne vous exclue pas et que, au contraire, elle vous encourage à être vous également et à assumer cette part de féminité en vôtre dedans qui font de vous des gentlemen sans armure mais en costume … Yves Saint Laurent (ndlr : l’inventeur du féminin-masculin).

La féminité n’est pas (que) une affaire de femmes, c’est une question de regard.
De Liberté & d’Amour

au sens large du terme, sans égard.

Belle journée.
Femmes & Hommes Je vous aime.

Mel

Crédits Photo : « Au nom de la Rose » par Natacha Mojaïsky

Merci à Natacha Mojaïsky pour l’illustration magique & poétique de la féminité de cet article & Merci à Némo Rhunensky pour son illustration sensible & sensuelle du masculin féminin. 

Chacune de ces deux artistes incarnent une féminité qui m’inspire au quotidien. Leur expression de la douceur, de la sensualité ; le regard et l’oeil qu’elles portent sur le monde m’emportent et colorent ma propre expression de ce que peut signifier être une femme d’aujourd’hui. Les avoir sur ma route est un cadeau, dans Forme Libre, un honneur. 

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Merci aussi à Laura, Mel, Loriane, Eliya, Cécilia, Véronique, Nath, Gin, Alexandra pour nos échanges et discussions de femmes qui ont nourri mon inspiration ici ; Merci à Charles, PA, Noé, Paul, Jerem, Simon, Arnaud pour leur vision et partage sur ce sujet. 

Merci à tout-e-s les Humain-e-s de ma Vie. 

 

 

C’est quoi l’amour ?

C’est quoi l’amour ?

« Et si on (se) parlait d’amour »

Mardi 8h , le chien tête en bas, chien tête en haut et posture du guerrier 3 en pigeon réalisés, je réalise aussi (un peu aidée par ma boite mail qui pourrait revendiquer un hashtag me too) que la Saint-Valentin n’est pas très loin.

La Saint-Valentin : la fête de l’amour. Mais, c’est quoi l’Amour ? Long sujet. Pas ma spécialité.

L’Amie : « Va falloir t’y mettre c’est nouvelle lune en verseau. Tu es donc invitée par les planètes à poser tes mots »

Si c’est le cosmos (ou cosmo) qui invite …

Mardi 9h » Coucouuuu, et si l’amour était …. ? A toi de compléter. La forme est libre. Et si on se parlait d’amour » message –> envoyé.

L’Amour c’est quand même mieux quand c’est vous qui le dites !

Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi … j’ai passé la semaine à recevoir de l’amour en partage au rythme des mots doux de mon entourage.

Avec elles et eux, celles et ceux que j’aime le mieux, nous avons tiré le portrait de l’Amour 

Le résultat vaut le détour. Il est polymorphe, libre. Il swing et donne le tournis.

« C’est quoi l’Amour ? »

C’est ça l’Amour. C’est tout ce que nous y mettons, tout ce que vous y mettez … A vous de jouer !

« Parlez moi d’amour, redites moi des choses tendres … votre beau discours mon coeur n’est pas las de l’entendre ….  » 

With Love. Always.

Forme Libre

 

 Parlez moi d’amour … redites moi des choses tendres … 

 » c’est quoi l’amour ? « 

Ah l’amour … C’est une longue attente mais pas aussi longue que nous suggère la Belle au Bois Dormant … Avec le temps, on se rend compte que, ce n’est pas une question de temps mais une question de rencontres … L’amour, pour moi, c’est la capacité de donner autant que nous recevons … Ce partage, cette alchimie parfaite ou chacun est sur un même pied d’égalité … L’harmonie parfaite où personne ne prend le dessus sur l’autre mais recherche le bien-être de l’autre avec bienveillance.

GG

© Rob Woodcox en diaporama de poésie ( suivre la flèche … )

 » L’ amour ?

L’amour est un mot étrange, il veut tout et rien dire à la fois. C’est un mot qui peut facilement être dénoué de sens pour certains alors que pour d’autres, comme moi, il est l’expression même de leurs sentiments, de leur complicité avec l’autre, de ces moments précieux partagés avec l’être unique.

Pour ma part, je me suis souvent posé la question de cette définition qui est propre à chacun. Je dirais que ma définition est assez large, elle exprime en moi ces moments de bien être partagés avec la personne choisie, ces moments qui vous enveloppent, où l’on se sent bien, où le seul effort que l’on doit faire n’en est pas un. Ces moments où nous sommes avec LA personne qui, ne vous juge pas, mais qui au contraire vous rend plus fort. L’amour est une situation, une ambiance, réconfortante, apaisante, pleine de sentiments si forts qu’ils vous prennent le coeur avec délicatesse et chaleur, qui vous accompagne tout au long de vos journées.

L’amour vrai ne fait pas mal, au contraire, il guérit et soigne. Son contraire, la trahison, peut, elle, blesser et détruire, parfois même nous inciter à ne plus nous rapprocher de l’amour.

À nous de faire le choix de suivre l’amour et de savoir où le chercher. Mais ne faut-il pas d’abord apprendre à se connaître ? « 

Matthieu

 » Mais dis moi, C’est quoi l’amour?
L’amour avec un grand A, ce fameux amour avec qui on va vivre toute notre vie.
Ce cher amour après qui on court, celui qui nous fait vibrer, pleurer, espérer, rire, nous déçoit, nous surprend, nous fait vivre tout simplement.
Si nous faisions tout par amour, tout serait si beau, tout est beaucoup plus beau par amour.
Si l’amour était une chanson, ce serait « L’hymne à l’amour » Si l’amour était une couleur, ce serait le rouge.
Si l’amour était une ville, ce serait Paris.
Si l’amour était un film, ce serait « The Notebook »

La plus belle illustration de l’Amour ? Celui de mes grands-parents. Je fonds d’ Amour. « 

Morgane

©  « La plus belle représentation de l’AMOUR , celui de mes Grands-Parents. »
Un partage émouvant de mon amie Morgane en hommage à son papy parti. Nous fondons d’amour aussi.

« L’amour se raconte t-il ?

L’amour de qui au juste ?
L’amour de soi ? L’amour des autres ? L’amour de quoi ?

L’amour c’est vibrer de mille et une façon. De vibrer en soi et en dehors de soi.
Il vibre au rythme de nos émois, lent, rapide, intense, virevoltant, passionnant, exténuant. Souvent doudou parfois garou, c’est un vrai voyou !

L’amour c’est deux mains, deux mains qui jouent au commencement puis deux mains qui bâtissent à l’unisson.

L’amour c’est une page blanche qu’on remplie, qu’on rature, qu’on corrige.
C’est un livre sans fin qui ne cesse de grandir avec nos premiers frissons, la fougue du présent et des souvenirs attachants.

C’est un train en marche qu’on saisit à la volée. Un baiser volé, un cœur soulevé, un sourire dérobé.

C’est une chanson de Barbara pour les enfants de Göttingen.

C’est un tournesol qui se nourrit de lumière et de chaleur.

C’est un coin de cuisine qui fourmille de bonnes et de moins bonnes recettes, de partages et de rires.

L’amour c’est mille et une façon de voir, d’écouter, de recevoir et de donner.

C’est le risque d’un sourire offert.

C’est une île vierge où mes parents ont posé leurs valises il y a 41 ans. Ce sont deux « fous » qui n’ont écouté que leur cœur.

L’amour, oui ça se raconte : c’est MI AIME A OU* ! »

Margaux (& Paul)

* expression créole pour dire "je t'aime" que l'on utilise beaucoup chez moi.

L’amour c’est quoi ?
Difficile de répondre à cette question.
Difficile car l’amour est un sentiment, une sensation, une émotion, une manière de vivre, de penser, qui s’apprend et change jusqu’à la fin de notre vie.
L’amour dépend de nous, de notre capacité à nous aimer, soi même et aimer notre histoire de vie, nos évolutions, nos faiblesses, nos failles mais surtout nos joies, nos instants de bonheur intenses, nos réussites.

L’amour se partage et c’est en se partageant avec les amis, la famille, les rencontres et parfois même de parfaits inconnus qu’il se révèle et que nous nous révélons par la même occasion.

Audrey

L’amour c’est l’essence même de la vie.. non? C’est comme un soleil… Un soleil qui réchauffe notre âme… un soleil doux comme un début de mois de mai… un soleil dansant au fil des rencontres, des rêves et des émotions… un soleil délicat mais tout aussi brûlant… un soleil sans qui rien ne pourrait exister…

Loriane

Ah le vertige de l’amour ! (merci Bashung).

C’est une sensation de perdre pied lorsque l’on est pas avec l’être aimé. A mon sens on peut mesurer l’amour par le manque que l’on éprouve de ne pas être avec l’autre. Mais l’amour ne doit jamais être aliénant; l’amour ne se trouve que dans la liberté car ce n’est qu’en elle qu’il y a récréation et amusement (Kierkegaard).
Et sans jeu et plaisir a quoi bon ?

l'Ami N

Qu’est-ce que l’amour pour moi.
Plus jeune, je pensais que l’amour c’était un opéra de Bizet. Je pensais que pour qu’une histoire soit belle, il fallait qu’elle soit forte et déchirante et passionnante. Je pensais que l’amour était un jeu instable dont les règles changeaient éternellement.
Je croyais en l’adage suis moi je te fuis, et si tu ne m’aimes pas je t’aime. J’en ai fait les frais, comme tout le monde, et j’ai fui et j’ai suivi à tour de rôles.
Et finalement, après quelques parties, des légères, des plus intenses, des mauvais joueurs, des bons perdants, j’ai rencontré l’Amour qu’il me faut, celui qui m’a fait grandir à une vitesse folle.
J’ai revu beaucoup de choses sur ma conception de l’amour depuis que nous sommes ensemble. J’ai appris à ne plus jouer, en fait. J’ai appris à être sincère, à ne plus gérer seule mais être une équipe, une vraie. J’ai appris à partager, simplement : les bons côtés, les rires, les cœurs, les amis, les fleurs, les voyages, les anecdotes, et les mauvais aussi : les doutes, les pleurs, les engueulades, les complexes, les coups durs.
Je suis récemment fiancée, j’en ai pleuré de joie et j’ai hâte de voir ce que l’avenir nous réserve. J’ai hâte de voir ce que nous allons être capables de construire à deux. J’ai hâte de voir notre amour se consolider et mûrir. On en parle souvent ensemble d’ailleurs : on se dit que nous sommes dans la « honey moon phase » avant même d’être mariés, on profite de ces moments où il n’y a que nous, car aussi pressés sommes-nous de devenir trois, on se dit qu’après cela, la partie, aussi belle et heureuse deviendra-t-elle, changera quelque peu et l’amour évoluera.
Donc pour moi, l’amour c’est avoir un coéquipier d’enfer, une personne qui nous complète : comprendre les fêlures, les angoisses et les doutes, et être assez fort pour se porter mutuellement dans tout ça. C’est aussi beaucoup de respect, d’admiration, de bienveillance et de rires. C’est ne plus chercher à suivre ou à fuir. C’est être soi, droit et bien. C’est me dire que quoi qu’il puisse arriver aujourd’hui, savoir que ce soir, je me loverai dans tes bras et que tout ira bien.

Scarlett

Il est des nouvelles qui comblent le cœur de bonheur. Ce bonheur que je vous souhaite à la pelle. Que le miel continue de couler à flot les tourtereaux !

L’amour est comme l’océan, il demande humilité, on adore s’y plonger. Parfois on se laisse submerger au risque de se noyer, mais quand on lâche prise il est empli de surprises.

Nina

En toute honnêteté je vois pas trop quand j écrirais. En toute honnêteté, l’amour je l’ai dans mes bras là maintenant où je suis en plein allaitement et que je te réponds d’un bras. Et ça, même si c’est un peu le bordel niveau rythme (cardiaque) … de jour comme de nuit ! hihi ! 

Marie

 » Tu as raison. Les mots me manquent, le coeur est plein, la parole est vide comment dire qu’on aime ? Comment exprimer l’amour ? Par quelle paroles rendre ce mélange de tendresse, de respect, d’estime, d’admiration, de dévouement et d’adoration qu’une âme comme la tienne fait naître dans un coeur comme le mien ? J’y renonce. La parole humaine n’est pas faite pour exprimer l’infini et je me contente de te dire : je t’aime. « 

Marine

reprenant les mots inspirants de Marion Laime

L’amour c’est ce qui suffit à me nourrir. A condition que j’ai aussi mon café clope.

Max

L’amour c’est deux regards qui se croisent et qui se disent  » Mais on se connait non ?  » ,
c’est une complicité innée, partagée, entretenue au fil des années. L’amour ce sont des efforts sans se forcer, L’amour c’est ce qui réconforte et fait avancer. L’Amour c’est faire de la place et ne plus voir le temps qui passe. L’amour c’est ce truc qui rend fun, drôle, amusant les trucs les plus chiants… L’amour c’est rire.
L’amour c’est ma mère, c’est l’amitié, c’est mon frère. 
L’amour c’est un pique-nique face à la mer, au coucher du soleil, où l’on partage une bouteille de vin et un peu de fromage. Un brin de saucisson ? Allez oui !  Pour la coquinerie.
L’amour c’est ce qui nous rend cons, cornichons, c’est ce qui nous fait raconter, dire, écrire des conneries.

L’amour c’est ce que j’ai ressenti en lisant tout ce que vous avez écrit.

Car … si je n’ai pas (encore) réussi grand chose dans ma vie, il y a une chose que je n’ai pas loupé c’est de (bien) choisir mes ami-es.

Mel

Crédit Photos :

Cet article a été illustré par le choix d’images de mes amis. Ils ont joint l’illustration aux émotions, la photo aux mots.

Certaines photos sont personnelles (merci de ce partage), d’autres ont été trouvées et choisies au détour d’une navigation sur Pinterest, instagram et Pexels.

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Après avoir lu tout ceci … nous vous souhaitons une bonne nuit d’Amour

La marée : « Bonjour Monsieur, est-ce qu’il y a assez d’eau pour se baigner ? »

La marée : « Bonjour Monsieur, est-ce qu’il y a assez d’eau pour se baigner ? »

Je pourrais disserter des heures sur la marée.

Sur ce moment qui désarçonne ceux qui ignorent (car il y en a) que la mer, la mienne en tous cas, la Manche, monte et descend. Et remonte. Et redescend. Sur le mouvement précis et cadencé, quotidien de la mer qui suit son parcours et finit par encercler l’imprudent(e) qui n’y a pas pris garde. Sur le changement de paysage, de couleur, d’odeur de la même plage, à marée basse et à marée haute. Chaque jour.

Mais il y a aussi des histoires. En voici une, réelle :
Un jour que je lisais face à la mer, à demi retirée, une dame s’approcha : « Bonjour monsieur, il y a assez d’eau pour se baigner ? ». Peu importe ma réponse. La question se suffit à elle-même pour dire combien la marée peut troubler les esprits.

 

La photo est un cadeau.

 

 

Guy Birenbaum

Guy ou l’épicier réformé

Guy ou l’épicier réformé

 » Où as-tu rencontré Guy Birenbaum » 

« Sur la plage »

« Et? »

« Life is a Beach »

Forme Libre

Guy ou l’épicier réformé.

« Si tu étais un pays…Tu serais…

La France car je suis très casanier. Je voyage très peu. Physiquement du moins, il faut une remorque pour me bouger ; ou ma femme et mes filles. Donc s’agissant d’un pays, la France mais si tu me demandes quelle ville je serais, je serais Londres.

Pour des raisons que j’ignore, je m’y suis toujours senti comme chez moi. J’aime Picadilly, sa lumière, son électricité, son rythme. J’avais acheté le premier 45 tours des Sex Pistols à sa sortie, là-bas et puis il y a ce magasin que j’adore : Lillywhites ! Tu vois ? Ce shop de 6 ou 7 étages dédié au sport où tu trouves absolument TOUS les maillots de TOUTES les équipes. Trainer mes filles et ma femme au dernier étage de ce magasin est la première chose que je fais systématiquement en arrivant à Londres et je chine des vieux maillots dans les bacs à fripes. Ce magasin représente Londres en fait à mes yeux.

Je ne sais pas tellement expliquer mon attachement à cette ville … c’est plus instinctif qu’autre chose. J’ai dû être un Beatles, dans une autre vie !

« Si tu étais un Animal…Tu serais…

Le chien. Le mien … je te réponds cela très spontanément et naturellement parce qu’il est mon camarade du quotidien, nous avons un rapport très proche.

J’aimerais bien être un chien. On te donne à manger, on te sort, tu peux courir sur la plage, te baigner, donner des coups de dents quand on t’ennuie un peu trop. C’est plutôt sympa une vie de chien.

Mais j’ai été un peu chien dans un sens différent. J’ai été rude et dur dans le travail. C’est tellement naturel de dire du mal. En tout cas, c’est plus facile que de dire du bien, et puis dans mon métier c’est ce qui fonctionne, c’est ce qui buzze, parce que ça fait écho à la peur en tout un chacun. J’ai donc été une machine à clics faite pour claquer, j’avais pour habitude de me décrire en disant que j’étais en Teflon, fait pour cogner. Je donnais des coups de dents et des coups de latte. J’en ai reçus des coups, aussi. Notamment en 2003, lorsque j’ai écrit « Nos Délits d’initié ». Je pensais que cela ne m’atteignait pas. D’ailleurs, je pensais que rien ne m’atteignait. J’étais le plus fort, le plus costaud. Celui qui avait le micro, celui à qui on le donnait, à qui on demandait son avis sur tout et sur du rien ! Tout était du caviar et je surfais sur la vague. De toute façon, je me sentais comme un passager clandestin. J’ai compris après pourquoi j’avais ce sentiment … mais pour faire simple, comme je n’aurais pas dû naître (ma mère n’aurait pas dû survivre aux deux ans entre 1942 et 1944) tout était du luxe, du caviar, du plus. Alors, j’étais un kamikaze et j’adorais ça. Tout allait bien ! Très bien. Je parlais, j’écrivais… Alors que j’étais devenu éditeur et, alors même, qu’en principe on ne voit pas beaucoup les éditeurs, j’étais l’éditeur qu’on invitait pour parler de ses auteurs. J’avais la parole, je donnais la parole, je tenais la parole avec une arrogance assez démente quand je la regarde a posteriori…

« L’horizon dans la gueule » © Guy Birenbaum.

J’en étais même arrivé à un stade où je sciais les branches sur lesquelles je m’étais perché. J’avais le chic pour me faire virer. Comme lorsque j’étais chroniqueur au Grand Journal sur Canal Plus et que j’ai fait le choix d’éditer un bouquin sur un ancien de la DGSE (Pierre Martinet) qui avait espionné les vedettes de Canal (les Guignols, notamment) pour la direction de l’époque de la chaîne … Je les avais prévenus que ça allait swinguer … au final c’est moi qui ait valdingué. Enfin … on m’a demandé de prendre un peu de recul et de distances en me disant « on te rappelle une fois les choses calmées  » … apparemment depuis 2005 il n’y a pas eu d’accalmie ! Mais ça n’était pas grave. Je me faisais virer et puis je recommençais ailleurs. Une sorte de kamikaze ! Il y a quelque chose, un fil continu entre l’interruption brutale et moi.

Jusqu’au jour où, sans que je ne comprenne pourquoi, après une première grosse crise en 2014, j’ai totalement perdu l’envie. C’était en 2017. Le format était pourtant parfait, la situation était rêvée : je bossais avec mon pote Bruce Toussaint et ma « sœur » de toujours, la directrice de l’antenne de France Info, Laurence Jousserandot. Mon ami Laurent Guimier était alors numéro deux de Radio France. Tout était parfait… et pourtant je me suis écroulé une deuxième fois. Tout ça n’avait plus de sens.

« Si tu étais un Mot…Tu serais…

Révolution.

Parce qu’on le comprend tout de suite…

Une révolution ce n’est pas forcément violent, ce peut être doux et cela laisse l’opportunité de tout changer.
Ce peut-être un chemin.
Je pourrais être autre chose que ce que je suis. D’ailleurs, n’est-ce pas ce que j’ai fait ? Ma Révolution.

« Si tu étais une Couleur…Tu serais…

Le bleu. Le bleu marin.

« Si tu étais une Plante…Tu serais…

Un arbre à fruits rouges parce que littéralement je suis un arbre à fruits rouges. « Birenbaum » signifie arbre à baies rouges. Dit ainsi et de ma part cela pourrait sonner très communiste ! 
Je ne suis pas particulièrement attaché à mon nom mais il est celui de mes parents, en cela j’y tiens et j’essaie d’en être à la hauteur. Comme de mon prénom. Guy était le pseudo de résistant de mon père. C’est son nom de guerre. Tu vois l’ironie du truc. C’est un prénom très difficile à porter. Essayer d’être à la hauteur de ça… ! C’est injouable. 

« Si tu étais un aliment… Tu serais…

Du sucre. Je suis très gourmand donc je cherche quelque chose de précis qui soit à la fois quelque chose que j’aime mais qui soit aussi très sucré pour être honnête avec toi … Du chocolat au lait !!!

« Si tu étais un objet… Tu serais…

Un appareil photo et pourtant je suis techniquement nul ! Je n’y connais absolument rien ! Pour moi c’est un instrument magique ! Lorsque je discute avec des photographes et qu’ils me parlent de la mécanique de leurs appareils, des objectifs, je n’y comprends absolument rien. Je ne conceptualise pas. D’ailleurs c’est un truc qui me poursuit depuis toujours, je ne parviens pas à conceptualiser ce genre de trucs et d’autres, je suis un concret qui se laisse aller à la part d’inexpliqué. Donc c’est une boite magique dont je me sers et puis c’est tout. Je ne sais pas comment elle fonctionne mais finalement est-ce important ?
Pour moi la photo c’est le pouvoir de l’instant présent. Donc en fait… Je serais un polaroïd pour être précis. Je suis un fan absolu de cadrage. J’aime garder les yeux grands ouverts, mes photos sont autant de regards que j’ai portés sur un moment. Immortaliser des situations de vie, des scènes du quotidien. De scènes de plage. Bien sûr il y a de la sociologie là-dedans, on ne se refait pas, c’est ma formation universitaire qui revient par la fenêtre de l’image. Toutefois, j’ai remplacé le bruit par l’image. Je n’ai plus rien à dire mais beaucoup à montrer, à donner aussi, à transmettre. D’où ce carnet de notes dans lequel tu es en train d’écrire. Ce n’est pas un livre de photos de couchers de soleil sursaturées, de plages décolorées par les filtres. Rien n’est trafiqué, fabriqué, mis en scène, c’est un livre de moments observés et pris en flag’ .

Tu vois, il y a sur mon Instagram une photo des deux femmes voilées dans la mer … lorsque j’ai pris ce cliché que j’adore, je ne me suis pas interrogé une seconde sur leur tenue, sur les débats qui agitent certains dans notre pays tous les jours. J’ai vu dans mon objectif deux femmes, deux amies, deux sœurs… heureuses de jouer ensemble dans la mer. Je l’ai publiée. En l’état. Comme ça. Avant j’aurais donné mon avis. Mais pourquoi ? Là je me suis contenté de dire que tout ceux qui abimeraient cette image de bonheur parfait avec leurs commentaires se verraient censurés par leur suppression sans hésitation. Et j’ai supprimé toute tentative de débat … Mon compte Instagram n’est pas un lieu de débat et je n’ai pas envie qu’il le soit et le devienne. ( @guybirenbaum )

 

J’ai été un hyper-connecté, une machine à clics, toujours le nez sur son écran, accro aux réseaux sociaux, à l’info en continu. Je voulais être sur la photo. J’avais envie d’être reconnu. C’était à la limite de la schizophrénie. Ce personnage que je jouais, était devenu moi. Le nombre de like était ma dopamine. Tu sais il y a un truc chimique là-dedans. Au même titre que courir produit de l’endorphine. Le nombre de like, de partages … tout cela envoie des substances à ton cerveau. A force, à l’excès, cela devient une drogue que tu cherches et recherches. J’étais totalement control freak. Je maîtrisais mon image, contrôlais tout … D’ailleurs j’ai couru 7 kilomètres tous les jours pendant sept ans, qu’il pleuve, vente, neige ou sous un soleil de plomb. Il a fallu que je fracasse le mur pour que ça s’arrête.

« Si tu étais unE personnalité, un artiste… Tu serais…

Le génie le plus incroyable de l’Histoire de la Pop : Paul McCartney. Il sait tout faire ! Absolument tout et en toute humilité en plus. Donc lui ou rien.

Cet homme est fascinant et ne peut que susciter l’admiration: à 78 ans, le mec joue 3 heures et boit 2 verres d’eau. C’est Mozart !

Il n’y a même pas de mots pour décrire cet homme là … Un peu de sérieux tu as mieux ?

24 heures avec ?

Lui ! Paul ! Pour trouver les mots justement. Pour mieux apprendre, pour mieux comprendre. Je crois que je filerais tout doux face à lui !

Mais en te répondant je pense à Christophe également. Je l’aimais beaucoup La puissance de ses textes, de ses mots. J’en aurais pleuré ! Mais en principe je ne pleure pas. Jamais. Il était un drôle de personnage, d’une incroyable douceur et d’une sensibilité assumée. Il vivait totalement à l’envers de nous. Lorsque nous nous couchions, il commençait à composer ! Dommage.

« Si tu étais une oeuvre… Tu serais…

The party, le film absurde de Blake Edwards avec Peter Sellers. Je ris bêtement devant ! J’adore ce cinéma anglais totalement décalé, déjanté, ça me fait marrer ! Rien ne me fait plus rire que ça. C’est débile mais j’assume. J’aime le Non Sense.

Dans un autre registre, Lelouch, L’aventure c’est l’aventure … Un peu de british et de la déconne à la française.

« Si tu étais une pièce de la maison… Tu serais…

La chambre. Sur mon lit, je lis, c’est mon cocon, mon lieu de repli. J’adore la sieste.

Forme Libre a pris la liberté, pour clôturer ce portrait, de s’interroger…

Si GUY était unE CITATION, il serait…

« Il n’y a pas d’âge pour réapprendre à vivre. On dirait même qu’on ne fait que ça toute sa vie : repartir, recommencer, respirer à nouveau. Comme si on n’apprenait jamais rien sur l’existence, sauf parfois une caractéristique de soi-même, une endurance, une vaillance, une légèreté. »

Françoise Sagan

 « Révolution: C’est retourner le sablier »

Jean Dubuffet

Amour & Pastèque – La chambre des amis

Amour & Pastèque – La chambre des amis

 » j’aime le silence, les langues étrangères que je ne comprends pas
et l’ennui … Ces moments de flottements où il ne se passe rien
«   

Etrange idée que de parler de silence lorsque l’on parle d’expression libre et pourtant … Comme une déclaration murmurée en état de confinée , Suliane parle avec l’élégance du coeur ici de celles et ceux qui, de chez eux, lui sont proches dans la vie.

Profiter du temps présent et partager … même éloignés un instant … Profiter de cet éloignement pour apprécier ceux que l’on a près de soi, prendre un moment pour leur dire ou leur écrire à quel point ils comptent chaque jour qui soit …

La jolie idée
La douce idée que celle de parler d’Amour & d’Amitié. 

 

Suliane ;
Les portes de ta maison ont beau être fermées, tu ouvres ici les fenêtres sur une Ode à la joie ! 
Merci pour le partage tout en images … Tes amis inspirent et donnent le sourire … Nous avons envie de luncher chez Mélanie en portant les créations de Marie et en écumant les vestiges du travail de Nicolas. 

Tiens donc, cette expression libre me fait l’effet d’une chanson !

Et si on se donnait rendez-vous dans … ?

Bien sur, on ne peut plus se retrouver Place des Grands Hommes à refaire le monde sur table mais plutôt que d’étaler nos lettres au scrabble, si on prenait le temps de s’dire … et si et si … on prenait le temps de s’écrire…?

Chers Lecteurs, ceci est une invitation, à prendre la plume à votre tour … à dire M comme un emblème, à le semer … sur la planète, ici ou là, en public ou en privé, en commentaire ou sur insta …

Notre passe-temps favori est de vous lire … prenons le temps, le temps d’un instant, de vivre à contre-courant et de prendre le contre-pied de la distanciation sociale en faisant dans le sentimental. 

A vos claviers, prêts, partez ! 

 

Forme Libre

 

 Parler des personnes qui comptent & qui sont bien la, 
pres de moi. 

 

Dans le contexte actuel, je serais bien sûr tentée de parler de liberté, d’humanité, de la vie, de la mort, de l’injustice, du droit des femmes, du devoir, de la responsabilité individuelle, collective … mais en fait ce n’est pas le format, il nous faudrait du temps, du temps et quelques pages …

 

Donc j’en suis venue avec une belle évidence à l’envie de parler de ma mère, de mes amis, des personnes qui comptent pour moi et qui sont bien là, près de moi. 

  

Tous ont en commun une ouverture d’esprit, des fragilités et de la force,

j’aime leurs différences et nos désaccords.

 ( … )

© Mélanie (the naked lunch) & Une partie de la fine équipe

 (…) 

Très souvent quand je présente ma mère, on me glisse à l’oreille,  » Ta mère, quelle belle femme !!!  »
J’en suis venue à être jalouse!!!! Plus sérieusement, ma mère n’est pas la douceur incarnée mais elle personnifie à mes yeux la résilience, l’indépendance et l’amour des mots. Je l’aime bien sûr, et surtout je l’admire et la respecte.  

 

© Ma mère, Hélène.

(…)

Mes amies de longue date:

Valérie Grondin, l’amie d’enfance, artiste peintre et art thérapeute, son sérieux et son engagement forcent le respect.

Gaelle Labrouche, céramiste, qui m’a toujours soutenue dans les moments difficiles sans en avoir l’air …  et m’a transmis le goût de la terre, de la céramique et du tournage. Elle est d’ailleurs ma prof et maîtrise à fond son job ! 

Sarah von Saurma, amie de la fac, styliste photo et décoratrice, j’aime le travail au long cours qu’elle a fait sur elle même.

Marie Auniac, styliste ( marie_aux_machines ) illustratrice et peintre, idem pour sa pugnacité et son courage face à l’adversité. Elle a un sens de l’humour formidable et le coeur sur la main.
Vincent Balhadère ( bons baisers de biarritz ) , qui m’a fait découvrir beaucoup de trésors cachés au Pays Basque, je suis très fière quand il m’arrive de lui en montrer qu’il ignore. 

Mes amis de BTZ, 

Julie Morin, beauté solaire et Benoît Mauduech (photographe et artiste peintre), qui se sont rencontrés et aimés chez moi, un beau couple, et 2 fortes personnalités. Benoît peut me faire mourir de rire. Avec Julie, on se prend la tête et on adore ça! être d’accord sur nos désaccords, un vrai plaisir. ( moandmo )

Mélanie Bordas, photographe et très talentueuse aux fourneaux (instagram Naked lunch) et Guillaume Le Cam, son homme, j’aime sa dégaine, son besoin d’amour, l’art de recevoir et de faire la fête !

Eric et Philippe, un couple magnifique, globe-trotters infatigables. 

Stéphane, un ami des années lycée, ultra-sensible et fin gourmet,

Thomas, le frère que je n’ai jamais eu et qui vous embarque pour danser jusqu’au bout de la nuit.

(…)

 

© Vincent et Bibi, avec les t-shirts de @marie_aux_machines.

© Marie à gauche, bibi et Sarah à droite.

(…)

et puis Nicolas d’Olcewww.nicolasdolce.com ), celui qui partage mes jours et mes nuits – au sens propre et figuré – avec qui les silences parlent aussi

et qui est artiste plasticien.

J’attends avec impatience une rétrospective de son travail au Guggenheim !!!

(…)

© Nicolas, dans son atelier.

(…)

Juste une dernière chose

J’aime cette réalité que beaucoup aujourd’hui rejettent en bloc, cette réalité de l’incommunicabilité et de l’étrange étranger en moi et chez chacun d’entre nous.

Cette réalité me permet de comprendre que je ne peux pas tout comprendre et cela limite mes colères !

Et puis j’aime le silence, les langues étrangères que je ne comprends pas,
Et l’ennui
Ces moments de flottements où il ne se passe rien … 

Suliane