La Terre.

La Terre.

Je suis une grande admiratrice de Pierre Rabhi et sa déclaration :

«Quand on mange il faudrait se souhaiter bonne chance plutôt que bon appétit» me fait froid dans le dos.

La terre est en effet essentielle à la vie,
c’est même la vie.

La Terre accueillait les premiers animaux il y a 500 millions d’années et les premiers hommes il y a 200 000 années.

La Terre nous offre non seulement l’oxygène pour respirer et notre nourriture pour survivre, mais aussi les paysages, le vent, les arbres, les fleurs, les animaux, les marées, les odeurs, le sable pour notre plus grand bonheur.

J’aime Pierre Rabhi et sa métaphore du colibri qui, si petit soit-il, «fait sa part».

Nous devons prendre conscience d’où nous venons et collectivement protéger la nature, la vie, la beauté qui nous entoure. Il est désolant de voir ce que les hommes ont fait de la terre depuis la révolution industrielle.
Nous terriens, nous n’avons qu’une terre pour y vivre, on doit donc la respecter, l’aimer.

Les ressources de la terre ne sont pas illimitées, l’homme ne peut pas épuiser ses ressources, pêcher jusqu’au dernier poisson, déboiser, exploiter intensivement les champs et les moindres recoins de la terre.

Alors que faire chacun à son niveau ?

Tout d’abord prendre conscience de l’impact qu’aurait une mesure simple : manger raisonnablement en quantité et en qualité, respecter les modes de culture et d’élevage respectueux de notre environnement.

Garder en tête que les ressources de la terre
ne sont pas infinies, mais bien finies.

Sylvie Marchal

© Crédit Photo : Paris Se Quema pour Mint Magazine.